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Pour cette journée internationale des droits des femmes, la principale revendication des femmes en particulier, celles divorcées est la réforme du code de la famille afin d’avoir de leur permettre d’avoir une autorité parentale partagée.
Selon le président de de la commission des lois à l’assemblée nationale, Moussa Diakhaté qui s’exprimait sur les ondes de la Rfm, c’est un combat légitime déclarant que l’institution va enclencher la réflexion sur la question posée pour une meilleure solution.
L’honorable député, a également soutenu que c’est un constat, qu’il a eu à faire et que c’est devenu un véritable calvaire surtout chez les femmes divorcées.
« Elles font la croix et la bannière pour obtenir du mari qui souvent fait des chantages à la femme pour ne pas octroyer à l’enfant a-t-il dit évoquant par ailleurs que si la finalité de l’autorité parentale c’est de protéger l’enfant pour son bien-être , donc il est grand temps de penser à une autorité parentale partagée, à défaut donner l’autorité parentale à l’un des membres du couple qui a la charge des enfants très souvent c’est la mère .
Le président de la commission des lois de l’assemblée nationale , a également souligne que , face à cette situation , ce sont très souvent les enfants qui sont les principaux perdants .
« Il ajoute « si la mère a la garde de l’enfant pensez-vous pas qu’il est plus correcte qu’elle puisse disposer de la garde. Mais que ça soit partagé entre le père chef de famille qui ne changera pas et la mère qui est en charge des enfants. Je pense que oui c’est une question qui est plausible et c’est une question sur la quelle on peut réfléchir au regard des conséquences néfastes sur les enfants. »
A en croire le député, cette loi mérite de passer à l’hémicycle mais il faudra l’organiser ne pas rester dans une vision générique. Mais c’est une question qui se pose et que je la trouve légitime. Elle mérite dans ce cas une réflexion beaucoup plus profond » a-t-il soutenu.