- Likes
- Followers
- Subscribers
- Followers
- Subscribers
- Followers
- Followers
- Members
- Followers
- Members
- Followers
- Subscribers
- Posts
- Comments
- Members
- Subscribe
Création d’un Office national de gestion des infrastructures sportives : La réplique de Mbaye Jacques Diop à Souleymane Boun Daouda Diop
Dans une contribution transmise au Grand Panel, le Conseiller technique et Spécialiste en droit et en économie du Sport, Mbaye Jacques Diop, a apporté une réplique salée à la sortie de l’ancien Directeur de la haute compétition, Souleymane Boun Daouda Diop contre la création d’un Office national de gestion des infrastructures sportives (Ogis par le ministère des Sports et la rencontre entre le ministre des Sports et le mouvement associatif et sportif.
Pour Mbaye Jacques Diop, cette rencontre est plus que salutaire d’autant plus qu’elle revêt d’une importance certaine. « Les propositions et recommandations issues de cette rencontre serviront aux acteurs du secteur, surtout au département de tutelle qui devra s’appuyer sur le principe de continuité du service public pour assurer leur mise en oeuvre », a-t-il fait savoir dans cette contribution.
Mbaye Jacques Diop de rappeler que « l’État est responsable du développement du mouvement sportif et en assume l’encadrement et le contrôle et il s’investit aussi au niveau de son fonctionnement et de son devenir ».
Selon lui, dans le contexte de la mondialisation économique du sport, les infrastructures contribuent à la croissance économique au même titre que les autres facteurs de production, d’où la pertinence de mettre en place un office de gestion de ces infrastructures « La création de cet office de gestion des infrastructures sportives permet d’accroitre la production et le revenu, de créer des emplois et d’attirer de nouvelles ressources. L’office de gestion des infrastructures sportives va exercer un impact sur les principales variables macroéconomiques du sport sénégalais ».
Pour répondre à la comparaison de Souleymane B.D. Diop entre l’office de gestion sénégalaises à celui de la Côte-d’Ivoire, le spécialiste en droit et en économie des sports révèle qu’un travail de longue alêne a été mené par les cadres du ministère des sports « Vous nous parlez de l’office national du sport de Côte d’Ivoire. il est différent de notre office de gestion des infrastructures sportives dont la réflexion a été menée par les compétents cadres du ministère des sports. ces derniers ont réfléchi pour prendre des initiatives et aller vers des réformes allant dans le sens des conventions d’objectifs de la mise en place des filières sportives avec un ancrage institutionnel », a-t-il précisé dans le document.