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Le directeur exécutif d’Amnesty International au Sénégal croit dur comme fer que l’avocat et candidat déclaré de la coalition «And gorr yi jotna» à la candidature à l’élection présidentielle du 25 février 2024 ne devait pas être placé en garde à vue hier. Surtout après les précisions du ministère des mines, d’après lui. «A-t-on besoin, après ce communiqué du ministère des Mines, d’engager des poursuites judiciaires contre Maître Moussa Diop ? L’État du Sénégal ne peut pas clamer sur tous les toits son engagement pour la bonne gouvernance et réprimer en même temps ceux qui alertent», a partagé Seydi Gassama sur son compte X (ex twitter). De l’avis du défenseur des droits humains, «il n’est pas nécessaire d’entamer des poursuites judiciaires contre Me Moussa Diop après la sortie du ministre des Mines». A noter qu’à la suite des accusations portées par Me Moussa Diop à l’endroit du Chef de l’Etat Macky Sall, l’ancien ministre des mines Aly Ngouille Ndiaye et à Jean-Claude Mimran, le gouvernement a sorti un communique dans lequel il dément toutes les allégations de l’ex Dg de Ddd. Non sans laver a grande eau le président de la République: «Il n’y a jamais eu de permis d’exploitation de diamant délivré au Sénégal. Il précise par ailleurs qu’il n’existe que deux permis de recherche de diamant en cours de validité ainsi qu’une autorisation d’exploitation semi-mécanisée pour lesquels des résultats concluants n’ont pas été encore obtenus».